LE CHAT.
Allongé sous le soleil d’été,
Tu clignes des yeux comme envoûté,
Par la chaleur qui t’enivre,
Et tu sembles attendre l’extase,
En pressant de ta patte la griffe,
Puis indolent tu as glissé,
Dans un sommeil improvisé…
Tu te laisses caresser à loisir,
Et tu t’enivres de ce parfum plaisir…
A la douceur de ta fourrure,
Ta maîtresse a sombré,
Dans une complicité engagée,
En cet instant privilégié,
Tout est symbiose et volupté…
Ecrit et publié par Claire le 23 Février 2016.
Bonsoir Chantal
Bien des mois se sont écoulés…
Dans nos vies personnelles et pourtant nous sommes toujours là à lire et à écrire.
Je suis très heureux de repasser chez toi après que nous nous soyons un peu perdus de vue.
Le poème sur le petit chat nous invite à ronronner dans la sérénité.
C’est un moment privilégié arraché au quotidien comme une respiration doucereuse.
Bravo ! Chantal et à bientôt donc !
Jacky
C’est toujours un plaisir Jacky de te lire et visiter les belles poésies de ton blog!
Chantal-Claire.