LORSQUE JE PRENDS LA PLUME.
Lorsque je prends la plume,
Tout mon regard s’allume,
L’ennui s’enfuit soudain,
Lorsque je la tiens en main,
Et l’écriture court si vite,
Que j’ai l’impression d’une fuite,
Et sous la magie soudaine,
Tout prend forme enfin,
De loin des mots semblent venir,
De mes entrailles jaillir,
Heureuse de pouvoir partager,
Ce qui m’est raconté,
Car tout un monde arrive,
Qui me permet de vivre,
Tous ces vers alignés,
Beauté de ma pensée,
Et depuis l’au-delà,
Tu sais guider mes pas,
Pour que je puisse émerger,
Dans le vrai monde, troublée,
Puis relisant surprise,
D’être sous une emprise,
De ne pas reconnaître,
Tout ce qui vient de naître,
Comme une suite ces vers,
Embellissent l’univers,
Je te rejoins un peu,
Toi qui es amoureux,
Des mots qui font surface,
Et toujours me dépassent,
Merveilleuse thérapie,
Peinture de la vie.
Claire.
Ecrit et publié par Claire le 20 Janvier 2011.
Bonsoir Chantal
Trés beau texte
ce que tu dis je l’ai ressenti
si souvent
tellement intensèment
Quelques fois je suis tellement surpris
que je me demande si c’est moi qui écrit
Mais j’ai changé depuis quelques temps…
ce que j’écrivais d’une traite
je le relis et je le re-travaille longtemps !
Beau poème avec une trés belle image
à bientôt
Jacky
Dernière publication sur Poèmes à la Carte : LES COURANTS DU TEMPS