TES LARMES.
Lors de ton appel, j’ai été surprise aujourd’hui par tes larmes,
Et j’ai compris que ton coeur avait perdu ses armes,
Je ne pouvais pas croire que tes yeux pouvaient déborder,
De ces flots qui montrent ta sensibilité,
J’essayerai d’oublier les portes qui masquent l’horizon,
Pour regarder avec toi le passage des saisons,
Dans l’hypothèse où je finirais par reprendre raison,
Car je ne trouve pas encore de solution,
En effet la vie reste pour moi très obscure,
Et j’ai pris le parti de devenir très dure,
J’ai encore contre toi des éclairs de violence,
Qui diffusent partout des lueurs aveuglantes,
Et qui m’ont permis,
De vaincre les forces de la nuit,
Et maintenant j’aspire à pouvoir me reposer nonchalamment,
Les cheveux dénoués aux pieds de mon amant,
Brûlante du plaisir que son regard demande,
Posant mes lèvres de feu que ses lèvres dévorent,
Car l’amour a trop besoin de l’espoir,
Et je ne peux à nouveau renouer avec le désespoir.
Claire.
Ecrit et publié par Claire le 07 Mars 2010.